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Par cette initiative, soutenue par le Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF), les professionnels s'engagent « à soutenir les actions de dépistage et de prise en charge des femmes et des enfants victimes de violences, mais aussi à se mobiliser, s'informer, se former et à se rapprocher des réseaux de lutte contre les violences au sein du couple» Consulter le communiqué complèt avec le texte du Manifeste à destination des femmes victimes de violence, signé le 7 mars 2014 à l'initiative de l'Association Gynécologie Sans Frontières |
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Communiqé de presse sur " Plan Cancer III et dépistage national organisé du cancer du col de l’utérus " Plan Cancer III et dépistage national organisé du cancer du col de l’utérus : une avancée très attendue pour la santé des femmes Le CNGOF, Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français et la SFCPCV, Société Française de Colposcopie et de Pathologie Cervico-Vaginale, saluent l'intention annoncée dans le 3e Plan Cancer de mettre en place un programme national de dépistage organisé du cancer du col de l'utérus. Il s'agissait d'une demande prioritaire et récurrente des professionnels. L'organisation d'un tel dépistage a démontré son efficacité dans de nombreux pays étrangers comme dans les expérimentations réalisées en France. Il nécessitera, bien sûr, un contrôle de qualité et un suivi rigoureux. Sa généralisation est une avancée significative pour la santé des femmes et mobilisera positivement tous les acteurs professionnels qui pourront ainsi mieux coordonner leurs efforts. Un taux de 80% de la population dépistée ainsi qu'un doublement du taux de couverture vaccinale sont les objectifs fixés par le Plan Cancer III. Les professionnels du CNGOF et de la SFCPCV auront à coeur d'y apporter toute leur contribution. Paris, 06/02/2014 Le document en PDF téléchargeable |
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CNGOF : Communiqé de presse sur l'IVG A l'occasion du débat parlementaire sur le projet de loi "Egalité Hommes-Femmes" et de l'article qu'il comporte sur l'IVG, le CNGOF rappelle que le combat principal pour l'IVG aujourd'hui dans notre pays n'est pas dans la sémantique. Si les mots ont de l'importance ("droit à" plutôt que "détresse") ils doivent s'accompagner de mesures concrètes concernant l'accès aux soins. Ce dernier dépend très directement des moyens qui sont donnés aux centres d'orthogénie et notamment des postes médicaux dont beaucoup de centres sont dépourvus. Sortir les centres d'IVG de leur isolement, les intégrer au fonctionnement des services hospitaliers de Gynécologie-Obstétrique en leur donnant les moyens pour les faire fonctionner, aider le secteur libéral à proposer une offre organisée, valoriser l'IVG médicamenteuse, voilà les actions qu'il serait important de mettre en oeuvre. Le CNGOF se tiendra à l'écart du débat proposé aux parlementaires, en insistant sur le fait que l'essentiel est dans les moyens qui sont donnés aux centres d'orthogénie pour exercer leur mission de santé publique. 20/01/2014 Fichier PDF téléchargeable |
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